Pour constituer une vision globale sur l’état d’avancement des apprenants en
matière du français, et pour établir le profil de l’ensemble de la classe, une évaluation
diagnostique s’impose au début de chaque année scolaire.
Il s’agit de situer les apprenants par rapport aux apprentissages prévus dans le
nouveau programme, de détecter leurs pré-requis et pré-acquis, de repérer leurs
difficultés d’apprentissage et de déterminer leurs savoirs, savoir-faire et savoir-être
relatifs aux différentes compétences linguistiques requises pour entamer et
s’entreprendre les nouveaux apprentissages.
Vu l’intérêt de ce type d’évaluation, en l’occurrence dans cette période de
l’année, l'arrêté ministériel relatif à l’organisation de l’année scolaire 2018-2019 a
proposé de consacrer trois semaines consécutives (allant du 10 au 28 octobre) pour
diagnostiquer les apprentissages du public cible.
L’évaluation diagnostique en matière du français pour le niveau CE4, visera les
disciplines suivantes : l’expression orale, la lecture et l’écriture.
Le présent rapport exposera les différentes opérations envisagées et adoptées pour
mener à bien cette évaluation diagnostique. Ces opérations sont les suivantes :
I) Planification des trois semaines de l’évaluation diagnostique ;
II) Résultats de l’évaluation diagnostique
II.1) L’évaluation diagnostique de la lecture
A) Plan d’action de l’évaluation de la lecture
B) Dépouillement des données : grille d’évaluation et interprétation
C) Détermination des groupes de besoin
D) Plan d’action des séances de soutien de la lecture
II.2) L’évaluation diagnostique de l’oral
A) Plan d’action de l’évaluation de l’oral
B) Dépouillement des données : grille d’évaluation et interprétation
C) Détermination des groupes de besoin
D) Plan d’action des séances de soutien de l’oral
II.3) L’évaluation diagnostique de l’écriture
A) Plan d’action de l’évaluation de l’écriture
B) Dépouillement des données : grille d’évaluation et interprétation
C) Détermination des groupes de besoin
D) Plan d’action des séances de soutien de l’écriture
III) Emploi du temps des trois semaines
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